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Le départ d'un Vendée Globe

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    Le jour du départ, on est forcément content. C’est un rêve, c’est quelque chose sur lequel on travaille depuis plusieurs années. Il y a une excitation, une envie, mais évidemment aussi une certaine appréhension. On ne part pas faire quelque chose d’anecdotique, on part faire un tour du monde avec de multiples interrogations.

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Au départ, il y a une bascule assez violente entre la dernière semaine de préparation, où l’on est extrêmement sollicité en voyant énormément de personnes, et le moment où l’on est seul sur le bateau. Il y a une certaine violence dans la rupture de ce que l’on vit avant et après le départ.

Lorsque l'on part sur le Vendée Globe, on sait que cela ne va pas être simple, ne serait-ce qu’en voyant les statistiques sur les précédentes éditions et les nombreux abandons. Le danger humain existe, on en est conscient et il y a un certain sérieux dans l’approche de la course.

François Gabart, vainqueur de l'édition 2012-2013 et recordman du Vendée Globe

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